Descriptif métiers
Adjoint de direction
1) Les missions
L’adjoint de direction assiste et seconde le directeur pour la gestion de l’équipe et l’organisation du travail, la coordination des interventions extérieures à caractère technique ou administratif, l’HSCT et les moyens généraux nécessaires au fonctionnement de l’établissement. Il participe à la gestion quotidienne des ressources humaines. Il gère les moyens généraux et les interventions extérieures de l’établissement. Il apporte un soutien aux équipes éducatives.
2) Le profil
L’adjoint de direction a une bonne vision du secteur. Il est autonome et sait prendre des initiatives. Il sait travailler en équipe et a des facilités relationnelles.
3) L’accès au métier
Le panel des diplômes permettant d’accéder à ce poste est assez large, généralement de niveau II.
L’adjoint de direction assiste et seconde le directeur pour la gestion de l’équipe et l’organisation du travail, la coordination des interventions extérieures à caractère technique ou administratif, l’HSCT et les moyens généraux nécessaires au fonctionnement de l’établissement. Il participe à la gestion quotidienne des ressources humaines. Il gère les moyens généraux et les interventions extérieures de l’établissement. Il apporte un soutien aux équipes éducatives.
2) Le profil
L’adjoint de direction a une bonne vision du secteur. Il est autonome et sait prendre des initiatives. Il sait travailler en équipe et a des facilités relationnelles.
3) L’accès au métier
Le panel des diplômes permettant d’accéder à ce poste est assez large, généralement de niveau II.
Agent Administratif
1) Les missions
Au sein de l’établissement l’agent administratif participe à la transmission et la rédaction des informations. Il saisit et présente des notes et des documents généralement à caractère confidentiel. Il traite, exploite et suit une partie des informations de l’établissement (correspondance courante, notes spécifiques). L’agent administratif participe au suivi du dossier administratif de chaque usager, élabore des outils de communication et de supports… Il réceptionne le courrier et le distribue. Il reçoit et filtre les communications téléphoniques et gère l’accueil physique en orientant les personnes vers leurs interlocuteurs.
2) Le profil
L’agent administratif doit faire preuve de rigueur dans son travail afin de respecter les délais impératifs, savoir s’organiser en gérant les priorités et répondre de manière efficace aux différentes sollicitations. Il doit avoir de bonnes expressions écrite et orale dans ses communications et respecter la confidentialité de ses échanges. Au contact des personnes accueillies, l’agent administratif doit avoir un comportement bienveillant et adapté pour favoriser une bonne communication avec les familles, les visiteurs et les clients.
3) L’accès au métier
Cet emploi est accessible avec un diplôme de niveau Bac (Bac professionnel, technologique,...) à Bac+2 (BTS, ...) en secrétariat, bureautique ou équivalent.
Au sein de l’établissement l’agent administratif participe à la transmission et la rédaction des informations. Il saisit et présente des notes et des documents généralement à caractère confidentiel. Il traite, exploite et suit une partie des informations de l’établissement (correspondance courante, notes spécifiques). L’agent administratif participe au suivi du dossier administratif de chaque usager, élabore des outils de communication et de supports… Il réceptionne le courrier et le distribue. Il reçoit et filtre les communications téléphoniques et gère l’accueil physique en orientant les personnes vers leurs interlocuteurs.
2) Le profil
L’agent administratif doit faire preuve de rigueur dans son travail afin de respecter les délais impératifs, savoir s’organiser en gérant les priorités et répondre de manière efficace aux différentes sollicitations. Il doit avoir de bonnes expressions écrite et orale dans ses communications et respecter la confidentialité de ses échanges. Au contact des personnes accueillies, l’agent administratif doit avoir un comportement bienveillant et adapté pour favoriser une bonne communication avec les familles, les visiteurs et les clients.
3) L’accès au métier
Cet emploi est accessible avec un diplôme de niveau Bac (Bac professionnel, technologique,...) à Bac+2 (BTS, ...) en secrétariat, bureautique ou équivalent.
Agent d’entretien
1) Les missions
L’agent d’entretien effectue les travaux de maintenance courante et l’entretien des locaux et espaces à usage collectif (salles d’activité, extérieurs, locaux techniques…) selon les règles de sécurité. Il gère les approvisionnements d’outils et de consommables. Plus particulièrement, il est chargé des espaces verts et de l’espace de vie des personnes accueillies. Il doit veiller à entretenir les bâtiments en respectant les normes de sécurité. Il gère l’entretien du parc automobile. L’agent d’entretien contribue à exercer une veille sanitaire et joue un rôle d’alerte si nécessaire.
2) Le profil
L’agent d’entretien doit avoir l’esprit d’équipe et de service pour réagir au plus vite aux besoins divers de l’établissement. Néanmoins, il doit avoir un comportement bienveillant et adapté envers les personnes accueillies.
3) L’accès au métier
Cet emploi est accessible avec un CAP/BEP dans les métiers du bâtiment second œuvre (plomberie, électricien, peinture, menuiserie…) voire avec une expérience professionnelle dans un ou plusieurs de ces domaines sans diplôme particulier.
Aide Médico-Psychologique
1) Les missions
L’AMP intervient auprès de personnes dépendantes de tous âges, que leur déficience soit sensorielle, physique, mentale ou psychique. Son registre d’action est double. Une connaissance dans les soins dits de « nursing » lui permet d’aider les personnes à réaliser les gestes de la vie quotidienne (lever, coucher, toilette, habillage, repas, déplacements) en établissant avec elles une relation de confiance. En parallèle, sa formation à la vie sociale et aux techniques relationnelles conduit l’AMP à stimuler la communication ou la mémoire des personnes accueillies, à travers notamment la mise en place d’activités éducatives, culturelles, sportives et créatives. L’AMP inscrit son intervention dans le cadre du projet d’accompagnement personnalisé élaboré pour chaque usager. Il agit au sein d’une équipe pluri professionnelle, à dominante éducative (éducateurs spécialisés, moniteurs-éducateurs, animateurs) ou à caractère soignant (médecins, infirmiers, aides-soignants). Son rôle est par conséquent très différent en fonction du public dont il s’occupe et des établissements où il exerce.
2) Le profil
Ce métier exige de solides qualités humaines. Les personnes accompagnées demandent beaucoup d'attention. La qualité de l'accompagnement repose sur une relation d'écoute et de confiance. Certains accompagnements nécessitent des manutentions. Cela nécessite une grande patience. Le sens du contact, une certaine créativité, une capacité à prendre du recul sur des situations parfois difficiles, la curiosité pour les techniques de communication non verbale, sont indispensables.
3) L’accès au métier
La formation préparant au diplôme d'État d'aide médico-psychologique est accessible par la voie initiale ou en cours d'emploi.
Le DEAMP est également accessible par la voie de la validation des acquis de l’expérience (VAE).
Aide-soignant
1) Les missions
Sous la responsabilité de l'infirmier, l'aide-soignant prend en charge quotidiennement l'hygiène des personnes accueillies et veille à leur confort physique et moral. Au quotidien, il aide celles-ci à effectuer leur toilette et à s'habiller. L'aide-soignant accompagne les personnes privées d’autonomie dans leurs déplacements. Son travail s'étend à certaines tâches d'entretien comme le changement de la literie et du linge, ainsi que le nettoyage et le rangement des chambres et des espaces de vie. Par délégation de l'infirmier, l'aide-soignant peut être amené à distribuer les médicaments pris dans le cadre des actes de la vie quotidienne. Il n'effectue pas de soins médicaux.
En revanche, il participe à d'autres soins comme le changement de certains pansements et, est capable de mesurer les paramètres vitaux (pression artérielle, température, rythme respiratoire, mensurations ...) en utilisant des outils spécifiques. L’aide-soignant a aussi un rôle d’observation, de transmissions sur l’état de la personne pour assurer la continuité des soins puis informer, écouter, accueillir la famille et les proches et répondre à leurs éventuelles interrogations.
2) Le profil
Le travail d'aide-soignant requiert force physique, patience, tact et un certain sens de l’écoute. Sa capacité à communiquer est primordiale. L'aide-soignant sait se rendre disponible et faire preuve d'initiatives en s'impliquant dans un travail d'équipe. Souvent confronté à des personnes en difficultés, il doit aussi être doté d'un solide équilibre psychologique afin d’y faire face.
3) L’accès au métier
Le diplôme d'État d'aide-soignant se prépare en un an, au sein d'écoles spécialisées après un concours d’entrée accessible sans diplôme préalable.
Animateur de formation
1) Les missions
Dans le cadre du projet personnalisé de la personne accueillie, l'animateur de formation conçoit, organise, et réalise la formation. Il met en œuvre des actions de maintien et/ou développement des acquis scolaires, des activités d’expression, des activités favorisant l’accès à la citoyenneté (image de soi, ouverture sur l’extérieur, compréhension de l’environnement et de ses évolutions…) ou à une plus grande autonomie au quotidien (transport, papiers administratifs, téléphone, argent, informatique…). Il a le souci d’adapter ses méthodes pédagogiques aux adultes et au handicap des personnes. Les activités de formation sont toujours réalisées en petits groupes, mais les techniques visent à l’individualisation des parcours. A partir, des objectifs définis, en concertation avec la personne accueillie, l’animateur a la responsabilité de la préparation, de l’animation et de l’évaluation de son activité et de ses outils pédagogiques.
2) Le profil
Au-delà de la transmission de connaissances, l’animateur a des compétences pédagogiques favorisant l’implication des personnes dans leur démarche d’apprenant. Il a le souci de sécuriser et de favoriser la réussite individuelle et collective de l’activité. Le formateur a le goût de la communication et du travail en équipe ainsi que des capacités d’adaptation et d’autonomie.
3) L’accès au métier
Il n'existe pas vraiment de filière modèle conduisant aux métiers de la formation. Plus de 200 formations s’adressent aux futurs formateurs. Une formation minimum bac + 2 est demandée pour un enseignement à dominante technique et à bac + 3/5 pour l’enseignement général. Pour acquérir, en plus d’un savoir-faire spécifique et des compétences pédagogiques et didactiques, il existe des formations universitaires en sciences sociales ou sciences de l’éducation.
Dans le cadre du projet personnalisé de la personne accueillie, l'animateur de formation conçoit, organise, et réalise la formation. Il met en œuvre des actions de maintien et/ou développement des acquis scolaires, des activités d’expression, des activités favorisant l’accès à la citoyenneté (image de soi, ouverture sur l’extérieur, compréhension de l’environnement et de ses évolutions…) ou à une plus grande autonomie au quotidien (transport, papiers administratifs, téléphone, argent, informatique…). Il a le souci d’adapter ses méthodes pédagogiques aux adultes et au handicap des personnes. Les activités de formation sont toujours réalisées en petits groupes, mais les techniques visent à l’individualisation des parcours. A partir, des objectifs définis, en concertation avec la personne accueillie, l’animateur a la responsabilité de la préparation, de l’animation et de l’évaluation de son activité et de ses outils pédagogiques.
2) Le profil
Au-delà de la transmission de connaissances, l’animateur a des compétences pédagogiques favorisant l’implication des personnes dans leur démarche d’apprenant. Il a le souci de sécuriser et de favoriser la réussite individuelle et collective de l’activité. Le formateur a le goût de la communication et du travail en équipe ainsi que des capacités d’adaptation et d’autonomie.
3) L’accès au métier
Il n'existe pas vraiment de filière modèle conduisant aux métiers de la formation. Plus de 200 formations s’adressent aux futurs formateurs. Une formation minimum bac + 2 est demandée pour un enseignement à dominante technique et à bac + 3/5 pour l’enseignement général. Pour acquérir, en plus d’un savoir-faire spécifique et des compétences pédagogiques et didactiques, il existe des formations universitaires en sciences sociales ou sciences de l’éducation.
Assistant Social
1) Les missions
L’assistant social accompagne la prise en charge sociale globale en cohérence avec le projet individualisé, arrêté conjointement avec l’équipe encadrante et l’usager, en articulation avec l’ensemble des dispositifs d’aide existants. Il assure la gestion et le suivi du dossier administratif de la personne notamment auprès de la MDPH grâce à l’évaluation des besoins de la personne. Il favorise la prise en charge et la résolution des problématiques administratives et sociales rencontrées par les usagers en élaborant des réponses adaptées aux situations concernées. Il développe des partenariats nécessaires à la prise en charge de la personne accueillie. L’assistant social a un devoir d’information envers les usagers sur l’évolution de leurs droits sociaux et législatifs par le moyen de temps d’informations collectives ou individuelles en s’appuyant sur les outils internes à l’établissement issus de la loi du 2 janvier 2002.
L’assistant social accompagne la prise en charge sociale globale en cohérence avec le projet individualisé, arrêté conjointement avec l’équipe encadrante et l’usager, en articulation avec l’ensemble des dispositifs d’aide existants. Il assure la gestion et le suivi du dossier administratif de la personne notamment auprès de la MDPH grâce à l’évaluation des besoins de la personne. Il favorise la prise en charge et la résolution des problématiques administratives et sociales rencontrées par les usagers en élaborant des réponses adaptées aux situations concernées. Il développe des partenariats nécessaires à la prise en charge de la personne accueillie. L’assistant social a un devoir d’information envers les usagers sur l’évolution de leurs droits sociaux et législatifs par le moyen de temps d’informations collectives ou individuelles en s’appuyant sur les outils internes à l’établissement issus de la loi du 2 janvier 2002.
2) Le profil
L’assistant social doit créer une relation de confiance. Il est soumis au secret professionnel.
3) L’accès au métier
Le diplôme d'État d’assistant de service social est obligatoire. La formation se déroule sur 3 ans. Elle est accessible par la voie de la VAE.
Cadre technique
1) Les missions
Le cadre technique assiste et seconde le directeur pour la gestion de l’équipe et l’organisation du travail, la coordination des interventions extérieures à caractère technique ou administratif, l’hygiène, la sécurité et les conditions de travail et les moyens généraux nécessaires au fonctionnement de l’établissement. Il participe à la gestion quotidienne des ressources humaines (veille juridique, gestion des emplois du temps, procédure d’embauche et de départ…). Il collabore avec l’équipe de direction aux actions éducatives en veillant au respect des règles de bientraitance.
2) Le profil
Le cadre technique doit être autonome et prendre des initiatives afin d’être rigoureux notamment en matière de veille juridique en collaboration avec les services du siège. Ce poste demande de savoir travailler en équipe ainsi que d’avoir des facilités relationnelles pour communiquer avec l’environnement (équipe pluridisciplinaire, famille, partenaires…). Au contact des personnes accueillies, le cadre technique a un comportement bienveillant et bientraitant.
3) L’accès au métier
Le panel des diplômes pouvant permettre d’accéder à ce poste est assez large, généralement de niveau III et de tout secteur.
Chef de service
1) Les missions
Le chef de service est le pivot de la vie de l’établissement social ou médico-social. Situé à l’interface entre la direction et les équipes, il veille au respect du projet institutionnel et de la bonne exécution des prestations délivrées aux usagers. Il pilote la mise en œuvre de la démarche qualité et son évaluation. Ses fonctions d’encadrement sont particulièrement stratégiques puisqu’il intervient autant dans l’organisation du travail que dans l’évaluation des personnels. Il a également un rôle d’appréciation et de contrôle des moyens financiers mis en œuvre pour la réalisation des missions qui lui sont confiées. Garant des projets éducatifs, il impulse et favorise une réflexion éthique et éducative au sein de son unité en s’appuyant sur les recommandations de bonnes pratiques professionnelles. Il veille au développement des compétences des professionnels, en proposant, si besoin, des mesures de formations individuelles ou collectives dans le cadre de la formation permanente. Il contrôle la sécurité des salariés qu’il encadre. Dans sa fonction de cadre intermédiaire, le chef de service est un vecteur de la communication interne. Il analyse les informations montantes ou descendantes et transmet les besoins. Par ses observations, il est en mesure de faire des propositions d'orientation auprès de la direction et de contribuer à l'élaboration du projet d'établissement.
2) Le profil
Le chef de service est garant, par son attitude managériale, de la bientraitance et de la qualité de l’accompagnement des personnes accueillies grâce à l’évaluation de la qualité du travail de son équipe mais aussi en ayant une bonne connaissance de son environnement. Le chef de service a une capacité d’analyse et d’initiative mêlée à l’esprit d’équipe tout en sachant faire preuve d’autonomie.
3) L’accès au métier
Le chef de service doit être titulaire d’un diplôme de niveau III.
Le CAFERUIS est également accessible par la voie de la validation des acquis de l’expérience (VAE).
Conseiller en économie Social et Familiale
1) Les missions
Dans le cadre de sa mission, le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) poursuit l’objectif principal de favoriser l'autonomie et la socialisation des personnes ou des familles. Il intervient auprès de différents publics dont les personnes en situation de handicap. Son action vise à transmettre des compétences qui vont permettre aux personnes d’accéder à plus d’autonomie dans leur vie quotidienne. Il est amené à dispenser information et formation dans tous les domaines de la vie quotidienne. L'organisation d'actions collectives constitue une part importante de son activité.
2) Le profil
Pour agir concrètement dans le quotidien des personnes, le CESF possède des compétences techniques et pratiques diversifiées dans des domaines comme la santé, la vie sociale et culturelle. Multipliant les partenariats avec d'autres professionnels, il a des aptitudes au travail en équipe.
3) L’accès au métier
Le diplôme d’État de conseiller en économie sociale et familiale (DECESF) se prépare classiquement après le Brevet de technicien supérieur « économie sociale familiale ».
Le DECESF est accessible par la voie de la validation des acquis de l’expérience (VAE).
Dans le cadre de sa mission, le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) poursuit l’objectif principal de favoriser l'autonomie et la socialisation des personnes ou des familles. Il intervient auprès de différents publics dont les personnes en situation de handicap. Son action vise à transmettre des compétences qui vont permettre aux personnes d’accéder à plus d’autonomie dans leur vie quotidienne. Il est amené à dispenser information et formation dans tous les domaines de la vie quotidienne. L'organisation d'actions collectives constitue une part importante de son activité.
2) Le profil
Pour agir concrètement dans le quotidien des personnes, le CESF possède des compétences techniques et pratiques diversifiées dans des domaines comme la santé, la vie sociale et culturelle. Multipliant les partenariats avec d'autres professionnels, il a des aptitudes au travail en équipe.
3) L’accès au métier
Le diplôme d’État de conseiller en économie sociale et familiale (DECESF) se prépare classiquement après le Brevet de technicien supérieur « économie sociale familiale ».
Le DECESF est accessible par la voie de la validation des acquis de l’expérience (VAE).
Directeur adjoint d’établissement
1) Les missions
Par subdélégation du directeur général et sous l’autorité directe du directeur d’établissement, le directeur adjoint d’établissement assiste et supplée celui-ci afin de proposer, d’animer et de mettre en œuvre les orientations de l’association et de coordonner l’ensemble des actions et des activités de l’établissement. Il seconde et supplée le cas échéant le directeur pour l’ensemble des fonctions éducatives, techniques, administratives et financières ainsi que pour la gestion des moyens humains et matériels de l’établissement. Par délégation, il assure le remplacement permanent du directeur.
2) Le profil
Les compétences en gestion et management sont déterminantes afin de conduire une équipe en prenant des décisions auxquelles elle adhère. Pour autant, l’expertise des dispositifs sociaux et médico-sociaux, la capacité d’anticipation, les compétences en matière de gestion sont autant de qualités nécessaires pour ce métier. Avoir un sens aigu de la communication et du partenariat, savoir convaincre pour impulser une dynamique de travail autour du projet d’établissement reste des qualités indispensables.
3) L’accès au métier
Le niveau de qualification de référence est le niveau II. Les formations en droit, comptabilité ou en gestion sont généralement privilégiées. Un diplôme du secteur, en général le CAFERUIS, complété par une formation généraliste en gestion permet d’accéder à cette fonction. La préparation au Caferuis se déroule en alternance sur 24 mois. Le Caferuis est également accessible par la voie de la validation des acquis de l’expérience (VAE).
Directeur d'Etablissement
1) Les missions
Le directeur d’établissement est chargé de proposer, d’animer et de mettre en œuvre les orientations de l’association et de coordonner l’ensemble des actions et des activités de son établissement. Il est responsable de l’ensemble des fonctions éducatives, techniques, administratives et financières ainsi que de la gestion des moyens humains et matériels de son établissement.
Le directeur d’établissement est chargé de proposer, d’animer et de mettre en œuvre les orientations de l’association et de coordonner l’ensemble des actions et des activités de son établissement. Il est responsable de l’ensemble des fonctions éducatives, techniques, administratives et financières ainsi que de la gestion des moyens humains et matériels de son établissement.
En interne, il impulse une dynamique institutionnelle en encourageant la mise en œuvre du projet d’établissement afin de satisfaire les besoins des usagers au mieux. Il oriente les pratiques professionnelles vers la bientraitance des personnes accueillies à travers l’organisation d’activités éducatives, thérapeutiques, pédagogiques, et éventuellement professionnelles. Garant de la satisfaction des besoins réels des usagers, il facilite leur expression et siège dans les instances de vie sociale de l’établissement et pilote la mise en œuvre de la démarche qualité ainsi que son évaluation. Il anime et gère les ressources humaines dans le respect du document unique de délégation notamment en matière de recrutement, sanction, formation, gestion des plannings et congés payés… En matière budgétaire, financière et comptable, le directeur d’établissement travaille soit seul, soit en collaboration son supérieur hiérarchique.
En externe, il assure la communication des différentes manifestations organisées dans son établissement. Il initie des projets de partenariat avec des partenaires institutionnels ou structures gestionnaires.
2) Le profil
Les compétences en gestion et management sont déterminantes afin de conduire une équipe en prenant des décisions auxquelles elle adhère. Pour autant, l’expertise des dispositifs sociaux et médico-sociaux, la capacité d’anticipation, les compétences en matière de gestion, sont autant de qualités nécessaires pour ce métier. Avoir un sens aigu de la communication et du partenariat, savoir convaincre pour impulser une dynamique de travail autour du projet d’établissement restent des qualités indispensables.
3) L’accès au métier
Un niveau de qualification de niveau I (niveau Bac+5) est généralement requis pour exercer la fonction de directeur. Les formations en droit, en comptabilité ou en gestion sont généralement privilégiées. Un diplôme du secteur (CAFDESIS) complété par une formation généraliste en gestion permet également d’accéder à cette responsabilité.
Le CAFDESIS permet d’acquérir des compétences de management et gestion des ressources humaines, de gestion économique, financière et logistique d’un établissement, d’élaboration et conduite du projet d’établissement.
Educateur de Jeunes enfants
1) Les missions
L’éducateur de jeunes enfants met en œuvre des activités multiples permettant le développement des capacités de l’enfant, selon son âge, sa maturité et ses potentialités. Il crée un environnement sécurisant et stimulant à la fois, permettant à l’enfant de faire des découvertes. Il intervient en particulier sur les domaines moteur (déplacement), psychomoteur (motricité fine, jeux d’adresse) et cognitif (langage, vocabulaire, raisonnement). Son action s’effectue en concertation avec les parents, auprès desquels il assure un rôle d’écoute, d’information et de soutien à la fonction parentale.
En lien avec les personnels des structures d’accueil de la petite enfance, il assure des actions de dépistage et de prévention. Il contribue également au diagnostic d’éventuels problèmes de croissance (audition, vue, retards psychomoteurs, obésité, malnutrition).
2) Le profil
L'éducateur de jeunes enfants fait preuve d'observation afin de mesurer les progrès des enfants et détecter d'éventuels problèmes. L'imagination et la créativité constituent des atouts appréciés pour mettre en place des activités adaptées à l'âge et aux potentialités des enfants.
3) L’accès au métier
Le diplôme d’Etat d’éducateur de jeunes enfants (DEEJE) s’obtient par une formation de trois ans avec alternance d’enseignements théoriques et de stages pratiques.
Le DEEJE est également accessible par la voie de la validation des acquis de l’expérience ou de l’apprentissage.
L’éducateur de jeunes enfants met en œuvre des activités multiples permettant le développement des capacités de l’enfant, selon son âge, sa maturité et ses potentialités. Il crée un environnement sécurisant et stimulant à la fois, permettant à l’enfant de faire des découvertes. Il intervient en particulier sur les domaines moteur (déplacement), psychomoteur (motricité fine, jeux d’adresse) et cognitif (langage, vocabulaire, raisonnement). Son action s’effectue en concertation avec les parents, auprès desquels il assure un rôle d’écoute, d’information et de soutien à la fonction parentale.
En lien avec les personnels des structures d’accueil de la petite enfance, il assure des actions de dépistage et de prévention. Il contribue également au diagnostic d’éventuels problèmes de croissance (audition, vue, retards psychomoteurs, obésité, malnutrition).
2) Le profil
L'éducateur de jeunes enfants fait preuve d'observation afin de mesurer les progrès des enfants et détecter d'éventuels problèmes. L'imagination et la créativité constituent des atouts appréciés pour mettre en place des activités adaptées à l'âge et aux potentialités des enfants.
3) L’accès au métier
Le diplôme d’Etat d’éducateur de jeunes enfants (DEEJE) s’obtient par une formation de trois ans avec alternance d’enseignements théoriques et de stages pratiques.
Le DEEJE est également accessible par la voie de la validation des acquis de l’expérience ou de l’apprentissage.
Educateur sportif
1) Les missions
Ce professionnel exerce des missions d’animation et d’encadrement lors de séances généralement collectives. Qu'il propose des séances récréatives ou des entraînements visant la performance, il s'adapte toujours aux caractéristiques des personnes (niveau sportif, âge, motivation...). Il organise et anime des activités sportives dans un objectif de loisirs, éducatif, thérapeutique, de compétition. Il encadre un groupe et accompagne chacun des pratiquants dans sa progression. Il peut initier, seul ou en partenariat, des actions sportives inter-établissements ou en lien avec des clubs ou des fédérations. Il contribue, à la hauteur de ses responsabilités, au fonctionnement de la structure qui l’emploie (gestion, communication…).
2) Le profil
Curieux de l'évolution des goûts et des pratiques, il doit également faire preuve d'un minimum de pratique sportive personnelle. Il doit particulièrement faire preuve de disponibilité, de patience, d'écoute, de diplomatie, de capacité à communiquer et d'autorité. Il prend en compte les attentes des personnes, sait créer une ambiance détendue dans le groupe et y maintenir une bonne entente. Il crée des situations et séquences pédagogiques valorisantes pour les personnes, afin de les aider à progresser et à améliorer leur estime d'elles-mêmes. Seul ou en équipe, cet animateur exerce de manière autonome son activité en veillant particulièrement à la sécurité des pratiquants.
3) L’accès au métier
Les compétences nécessaires à ce poste s’acquièrent par l’obtention du BPJEPS Activités Physiques pour Tous auquel s’ajoute le certificat Accompagnement et intégration des personnes en situation de handicap.
Ce professionnel exerce des missions d’animation et d’encadrement lors de séances généralement collectives. Qu'il propose des séances récréatives ou des entraînements visant la performance, il s'adapte toujours aux caractéristiques des personnes (niveau sportif, âge, motivation...). Il organise et anime des activités sportives dans un objectif de loisirs, éducatif, thérapeutique, de compétition. Il encadre un groupe et accompagne chacun des pratiquants dans sa progression. Il peut initier, seul ou en partenariat, des actions sportives inter-établissements ou en lien avec des clubs ou des fédérations. Il contribue, à la hauteur de ses responsabilités, au fonctionnement de la structure qui l’emploie (gestion, communication…).
2) Le profil
Curieux de l'évolution des goûts et des pratiques, il doit également faire preuve d'un minimum de pratique sportive personnelle. Il doit particulièrement faire preuve de disponibilité, de patience, d'écoute, de diplomatie, de capacité à communiquer et d'autorité. Il prend en compte les attentes des personnes, sait créer une ambiance détendue dans le groupe et y maintenir une bonne entente. Il crée des situations et séquences pédagogiques valorisantes pour les personnes, afin de les aider à progresser et à améliorer leur estime d'elles-mêmes. Seul ou en équipe, cet animateur exerce de manière autonome son activité en veillant particulièrement à la sécurité des pratiquants.
3) L’accès au métier
Les compétences nécessaires à ce poste s’acquièrent par l’obtention du BPJEPS Activités Physiques pour Tous auquel s’ajoute le certificat Accompagnement et intégration des personnes en situation de handicap.
Le DEJEPS Activités Physiques et Sportives Adaptées ou une licence STAPS Activités Physiques Adaptées et Santé permettent d’accéder à ce métier.
Educateur spécialisé
1) Les missions
L’éducateur spécialisé intervient auprès de l’ensemble des publics accueillis nécessitant un accompagnement éducatif à travers les actes de la vie quotidienne, les tâches d’apprentissage, les activités diverses, dans le but d'éveiller leurs personnalités et de développer ou maintenir leurs capacités, de favoriser leur intégration ou réintégration dans la vie sociale et de contribuer à leur bien-être. Pour cela, il utilise différentes méthodes : discussions destinées à établir une relation de confiance, activités socio-éducatives, culturelles ou sportives, installation d’un cadre éducatif sécurisant en lien avec d’autres intervenants sociaux, assistance dans la vie quotidienne selon un projet d’accompagnement personnalisé.
L’éducateur spécialisé dispose d’un haut degré d’autonomie dans la conception des projets personnalisés à destination des personnes accueillies. Toutefois son intervention s’intègre dans un cadre pluri professionnel et est déterminée en équipe. L’éducateur spécialisé peut assumer un rôle de coordination et/ou de suivi de projets. Il peut aussi être chargé du suivi des relations avec l’entourage des personnes accueillies.
2) Le profil
Attentif, ouvert aux autres, il a la capacité de proposer des projets en fonction des besoins exprimés. En lien avec les projets de service ou des personnes, l’éducateur spécialisé a les capacités de rédiger et mettre en œuvre des programmes. Savoir travailler en équipe est un atout indispensable pour faire face aux situations difficiles et complexes auxquelles il est parfois confronté.
3) L’accès au métier
Pour exercer ce métier, il faut être titulaire du Diplôme d’Etat d’éducateur spécialisé (DEES). Il est accessible par concours, après le bac, permettant d’accéder à la formation d’une durée de trois ans. La formation est dispensée en formation initiale ou en cours d’emploi.
Des dispenses de formation et de certification sont accordées aux candidats titulaires d’un diplôme de niveau III de travail social, ou du diplôme d’État de moniteur-éducateur.
Le DEES est accessible par l’apprentissage et par la voie de la validation des acquis de l’expérience (VAE).
Educateur Technique Spécialisé
1) Les missions
L’éducateur technique spécialisé est en charge de l’accompagnement éducatif de personne en situation de handicap par la mise en place d’apprentissages professionnels et techniques. Il s’appuie sur le projet personnalisé de la personne accueillie pour adapter les enseignements en collectif ou en individuel. Il transmet des compétences privilégiant l’autonomie et la responsabilité dans un but de socialisation et d’intégration professionnelle des personnes accueillies. Son intervention s’inscrit dans un cadre pluri professionnel.
2) Le profil
Outre la maîtrise technologique, l'éducateur est pédagogue. Il est disponible et à l'écoute. Il a une bonne connaissance des personnes (pathologie, compétences…) et est capable de faire des propositions d’organisation.
3) L’accès au métier
Pour exercer ce métier, le DEETS (diplôme d’Etat d’éducateur technique spécialisé) est nécessaire et se prépare en 3 ans. La formation est accessible soit par la voie initiale soit en en cours d’emploi.
L’éducateur technique spécialisé est en charge de l’accompagnement éducatif de personne en situation de handicap par la mise en place d’apprentissages professionnels et techniques. Il s’appuie sur le projet personnalisé de la personne accueillie pour adapter les enseignements en collectif ou en individuel. Il transmet des compétences privilégiant l’autonomie et la responsabilité dans un but de socialisation et d’intégration professionnelle des personnes accueillies. Son intervention s’inscrit dans un cadre pluri professionnel.
2) Le profil
Outre la maîtrise technologique, l'éducateur est pédagogue. Il est disponible et à l'écoute. Il a une bonne connaissance des personnes (pathologie, compétences…) et est capable de faire des propositions d’organisation.
3) L’accès au métier
Pour exercer ce métier, le DEETS (diplôme d’Etat d’éducateur technique spécialisé) est nécessaire et se prépare en 3 ans. La formation est accessible soit par la voie initiale soit en en cours d’emploi.
Ergothèrapeute
1) Les missions
L'ergothérapeute contribue au traitement des situations de handicap chez des personnes de tout âge. Chez le jeune enfant, il analyse la nature du handicap de la personne afin de lui proposer une aide sur mesure. Puis, il effectue un bilan de ses capacités gestuelles et de son potentiel d’autonomie (pour s'habiller, se déplacer, s'alimenter...). À partir des besoins identifiés, il établit un programme individualisé afin d’aider l’enfant ou la personne à effectuer certains gestes ou mouvements. Il peut décider de l'installation d'un appareillage et d'un matériel destiné à faciliter la vie quotidienne. De plus, l’ergothérapeute veille à prévenir l'aggravation des lésions déjà présentes et à maintenir les capacités dont dispose la personne.
2) Le profil
L'ergothérapeute est en contact permanent avec les personnes en situation de handicap. Il a un excellent relationnel, est compréhensif, patient et pédagogue. Il sera aussi créatif, capable de personnaliser son aide de façon à l'adapter à chaque personne et à ses difficultés spécifiques. L’ergothérapeute sait travailler en équipe avec le reste du personnel soignant.
3) L’accès au métier
Le diplôme d'État d'ergothérapeute est nécessaire pour exercer. Le métier d’ergothérapeute après une formation de trois ans, sur concours à l’issue d’une première année commune aux études de santé (PACES).
L'ergothérapeute contribue au traitement des situations de handicap chez des personnes de tout âge. Chez le jeune enfant, il analyse la nature du handicap de la personne afin de lui proposer une aide sur mesure. Puis, il effectue un bilan de ses capacités gestuelles et de son potentiel d’autonomie (pour s'habiller, se déplacer, s'alimenter...). À partir des besoins identifiés, il établit un programme individualisé afin d’aider l’enfant ou la personne à effectuer certains gestes ou mouvements. Il peut décider de l'installation d'un appareillage et d'un matériel destiné à faciliter la vie quotidienne. De plus, l’ergothérapeute veille à prévenir l'aggravation des lésions déjà présentes et à maintenir les capacités dont dispose la personne.
2) Le profil
L'ergothérapeute est en contact permanent avec les personnes en situation de handicap. Il a un excellent relationnel, est compréhensif, patient et pédagogue. Il sera aussi créatif, capable de personnaliser son aide de façon à l'adapter à chaque personne et à ses difficultés spécifiques. L’ergothérapeute sait travailler en équipe avec le reste du personnel soignant.
3) L’accès au métier
Le diplôme d'État d'ergothérapeute est nécessaire pour exercer. Le métier d’ergothérapeute après une formation de trois ans, sur concours à l’issue d’une première année commune aux études de santé (PACES).
Le diplôme est également accessible par validation des acquis de l’expérience (VAE).
Infirmier
1) Les missions
L'infirmier effectue des soins de nature préventive, curative ou palliative pour améliorer, maintenir et restaurer la santé. Il collabore avec toute l'équipe soignante et éducative au projet personnalisé de la personne accueillie lors de son élaboration et de son suivi. Il participe à la vie de l’établissement dans la mesure du possible et en liaison avec le reste de l’équipe. Il assure les soins d'hygiène, de confort et de sécurité des personnes accueillies en lien avec leur médecin traitant ou celui de l’établissement.
L'infirmier effectue des soins de nature préventive, curative ou palliative pour améliorer, maintenir et restaurer la santé. Il collabore avec toute l'équipe soignante et éducative au projet personnalisé de la personne accueillie lors de son élaboration et de son suivi. Il participe à la vie de l’établissement dans la mesure du possible et en liaison avec le reste de l’équipe. Il assure les soins d'hygiène, de confort et de sécurité des personnes accueillies en lien avec leur médecin traitant ou celui de l’établissement.
Il est chargé de gérer d’éventuelles urgences ou imprévus et en rend compte au responsable de service ainsi que sur l’évolution de l’état de santé des personnes accueillies. Gestion du parcours des médicaments dans l’établissement (réception, préparation, distribution), suivi et mise à jour des dossiers sont de la responsabilité de l’infirmier qui est, par ailleurs, tenu au secret professionnel. Il établit aussi les plannings de soins en fonction des prescriptions médicales. Il peut organiser des rendez-vous auprès de différents professionnels extérieurs et peut y accompagner l’usager.
2) Le profil
L'infirmier est un maillon important de l'équipe de l’établissement, car il a aussi une fonction d'observation et de dialogue avec l’usager. Il recueille des informations pour une prise en charge adaptée. Cela lui permet d'être à l'écoute, de rencontrer les familles, d'assurer un accompagnement et un soutien psychologique. Par ailleurs, des capacités d’organisation et d’analyse sont des qualités nécessaires.
3) L’accès au métier
Pour exercer ce métier, il faut obtenir le diplôme d'État d'infirmier, délivré par les Ifsi (instituts de formation aux soins infirmiers). L’entrée dans la formation est accessible après l’obtention du bac. Les auxiliaires de puériculture et les aides-soignants justifiant de 3 ans d'expérience peuvent se présenter à un examen d'admission spécifique et bénéficier d'une dispense de certaines unités de formation.
Masseur-Kinésithérapeute
1) Les missions
Le masseur-kinésithérapeute contribue, sous l’autorité technique médicale, au dépistage, à la prévention, à la rééducation et à la thérapie des personnes accueillies. Ses actions se réalisent dans le but de prévenir l’altération des capacités fonctionnelles, de concourir à leur maintien et lorsqu’elles sont altérées, de les rétablir ou d’y suppléer. Il travaille en collaboration avec le personnel soignant ou encore les parents pour les sensibiliser au confort, au positionnement et à l’autonomie.
2) Le profil
À l’écoute des personnes et de leur entourage, un bon relationnel est indispensable pour établir des relations de confiance, Le masseur-kinésithérapeute sait travailler en étroite collaboration avec l’équipe médicale et l’équipe soignante et éducative. Une bonne résistance physique est également souhaitable pour manipuler les patients, répéter les exercices de rééducation, réaliser des gestes et des massages.
3) L’accès au métier
Le diplôme d'État de masseur-kinésithérapeute est nécessaire pour exercer. Il est accessible après un bac S, suivi dans certains cas d'une première année de médecine, puis de trois ans de formation suivant la filière.
Le masseur-kinésithérapeute contribue, sous l’autorité technique médicale, au dépistage, à la prévention, à la rééducation et à la thérapie des personnes accueillies. Ses actions se réalisent dans le but de prévenir l’altération des capacités fonctionnelles, de concourir à leur maintien et lorsqu’elles sont altérées, de les rétablir ou d’y suppléer. Il travaille en collaboration avec le personnel soignant ou encore les parents pour les sensibiliser au confort, au positionnement et à l’autonomie.
2) Le profil
À l’écoute des personnes et de leur entourage, un bon relationnel est indispensable pour établir des relations de confiance, Le masseur-kinésithérapeute sait travailler en étroite collaboration avec l’équipe médicale et l’équipe soignante et éducative. Une bonne résistance physique est également souhaitable pour manipuler les patients, répéter les exercices de rééducation, réaliser des gestes et des massages.
3) L’accès au métier
Le diplôme d'État de masseur-kinésithérapeute est nécessaire pour exercer. Il est accessible après un bac S, suivi dans certains cas d'une première année de médecine, puis de trois ans de formation suivant la filière.
Médecin généraliste
1) Les missions
Polyvalent, le médecin généraliste accueille des personnes de tout âge et traite des pathologies variées. Il est à l'écoute des personnes, de leurs plaintes ou de leurs besoins et tisse une relation de confiance pour favoriser l'échange sur le long terme. Dans certains cas, il réoriente vers des médecins spécialistes. La prévention constitue l'un de ses axes prioritaires.
2) Le profil
Le généraliste, par définition, a des connaissances médicales très étendues pour dépister les affections de ses patients. Soumis à un code de déontologie, il est tenu au secret professionnel sauf dans certaines situations (actes de violence, épidémies…).
3) L’accès au métier
Neuf ans de formation sont nécessaires en faculté de médecine pour devenir médecin généraliste.
Polyvalent, le médecin généraliste accueille des personnes de tout âge et traite des pathologies variées. Il est à l'écoute des personnes, de leurs plaintes ou de leurs besoins et tisse une relation de confiance pour favoriser l'échange sur le long terme. Dans certains cas, il réoriente vers des médecins spécialistes. La prévention constitue l'un de ses axes prioritaires.
2) Le profil
Le généraliste, par définition, a des connaissances médicales très étendues pour dépister les affections de ses patients. Soumis à un code de déontologie, il est tenu au secret professionnel sauf dans certaines situations (actes de violence, épidémies…).
3) L’accès au métier
Neuf ans de formation sont nécessaires en faculté de médecine pour devenir médecin généraliste.
Moniteur d'atelier
1) Les missions
En ESAT, le moniteur d’atelier intervient principalement au sein d’une équipe dans la mise en œuvre des activités de travail auprès des personnes accueillies (sécurité, organisation, suivi des commandes, contrôle qualité…) et dans la mise en œuvre d’activités de soutien adaptées (autonomie, apprentissage aux postes, évaluation, projet personnalisé) favorisant le développement personnel et professionnel. Si la technicité ou d’autres impératifs l’imposent, il peut participer directement à la production.
2) Le profil
Afin de favoriser l’autonomie, le moniteur d’atelier a le souci d’associer la personne à son projet de vie et à son projet professionnel. A l’écoute, dynamique, le moniteur d’atelier a le sens des relations, il sait créer les conditions d’un climat d’accueil favorable au bien-être des personnes accueillies. Il a le sens du travail en équipe.
3) L’accès au métier
L’accès au poste de moniteur d’atelier de 1ère classe est ouvert aux titulaires du diplôme d’Etat d’éducateur technique spécialisé. Le moniteur d’atelier de 2ème classe justifie d’un CAP et de 7 ans de pratique professionnelle ou d’un BEP et de 5 ans de pratique professionnelle dans un métier de base.
En ESAT, le moniteur d’atelier intervient principalement au sein d’une équipe dans la mise en œuvre des activités de travail auprès des personnes accueillies (sécurité, organisation, suivi des commandes, contrôle qualité…) et dans la mise en œuvre d’activités de soutien adaptées (autonomie, apprentissage aux postes, évaluation, projet personnalisé) favorisant le développement personnel et professionnel. Si la technicité ou d’autres impératifs l’imposent, il peut participer directement à la production.
2) Le profil
Afin de favoriser l’autonomie, le moniteur d’atelier a le souci d’associer la personne à son projet de vie et à son projet professionnel. A l’écoute, dynamique, le moniteur d’atelier a le sens des relations, il sait créer les conditions d’un climat d’accueil favorable au bien-être des personnes accueillies. Il a le sens du travail en équipe.
3) L’accès au métier
L’accès au poste de moniteur d’atelier de 1ère classe est ouvert aux titulaires du diplôme d’Etat d’éducateur technique spécialisé. Le moniteur d’atelier de 2ème classe justifie d’un CAP et de 7 ans de pratique professionnelle ou d’un BEP et de 5 ans de pratique professionnelle dans un métier de base.
Moniteur Educateur
1) Les missions
L’action d’un moniteur éducateur s’inscrit dans le cadre d’un projet de service. Dans un internat accueillant des adultes, il stimule les résidents tout au long de leurs journées, anime des ateliers, assiste aux repas. Auprès d’enfants, il propose des supports éducatifs (atelier d’expression orale, dessin, mobilité corporelle). Par son action, il vise à maintenir et à développer leurs capacités d’adaptation et leur autonomie.
Travaillant sous la responsabilité d’un chef de service, le moniteur éducateur construit ses interventions en complément de celles des éducateurs spécialisés et en liaison avec une chaîne d’intervenants sociaux, éducatifs ou sanitaires (assistant de service social, aide médico-psychologique, aide-soignant, médecin, psychologue). Dans ce cadre pluridisciplinaire, il contribue à l’élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des projets personnalisés des personnes accompagnées.
2) Le profil
Avoir le sens du contact, être à l’écoute et faire preuve de patience sont des qualités indispensables du moniteur éducateur. Savoir travailler en équipe permet également l’analyse des situations et la prise de recul.
3) L’accès au métier
Le diplôme d'État de moniteur-éducateur est accessible sur épreuves écrites et orales. Toutefois, chaque établissement de formation peut imposer ses propres critères d’admission.
Le DEME est également accessible par la voie de la validation des acquis de l’expérience (VAE) et de l’apprentissage.
L’action d’un moniteur éducateur s’inscrit dans le cadre d’un projet de service. Dans un internat accueillant des adultes, il stimule les résidents tout au long de leurs journées, anime des ateliers, assiste aux repas. Auprès d’enfants, il propose des supports éducatifs (atelier d’expression orale, dessin, mobilité corporelle). Par son action, il vise à maintenir et à développer leurs capacités d’adaptation et leur autonomie.
Travaillant sous la responsabilité d’un chef de service, le moniteur éducateur construit ses interventions en complément de celles des éducateurs spécialisés et en liaison avec une chaîne d’intervenants sociaux, éducatifs ou sanitaires (assistant de service social, aide médico-psychologique, aide-soignant, médecin, psychologue). Dans ce cadre pluridisciplinaire, il contribue à l’élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des projets personnalisés des personnes accompagnées.
2) Le profil
Avoir le sens du contact, être à l’écoute et faire preuve de patience sont des qualités indispensables du moniteur éducateur. Savoir travailler en équipe permet également l’analyse des situations et la prise de recul.
3) L’accès au métier
Le diplôme d'État de moniteur-éducateur est accessible sur épreuves écrites et orales. Toutefois, chaque établissement de formation peut imposer ses propres critères d’admission.
Le DEME est également accessible par la voie de la validation des acquis de l’expérience (VAE) et de l’apprentissage.
Orthophoniste
1) Les missions
Son rôle est d’intervenir sur les troubles de la voix, de la parole, de la respiration et de la déglutition. Il rééduque les défauts de prononciation (bégaiement, dyslexie, dysphasie...). Il traite aussi les difficultés d'écriture, de calcul ainsi que les pertes de parole. Après avoir établi un bilan, lors des séances, l'orthophoniste utilise des exercices techniques et ludiques adaptés à chaque personne et à chaque trouble.
2) Le profil
Les techniques utilisées pour la rééducation nécessitent des connaissances dans des disciplines diverses : grammaire, orthographe, psychologie, logique mathématique, phonétique, dessin, musique...
3) L’accès au métier
Le certificat de capacité d'orthophoniste s’obtient après 4 ans d’études dans un UFR de médecine.
Son rôle est d’intervenir sur les troubles de la voix, de la parole, de la respiration et de la déglutition. Il rééduque les défauts de prononciation (bégaiement, dyslexie, dysphasie...). Il traite aussi les difficultés d'écriture, de calcul ainsi que les pertes de parole. Après avoir établi un bilan, lors des séances, l'orthophoniste utilise des exercices techniques et ludiques adaptés à chaque personne et à chaque trouble.
2) Le profil
Les techniques utilisées pour la rééducation nécessitent des connaissances dans des disciplines diverses : grammaire, orthographe, psychologie, logique mathématique, phonétique, dessin, musique...
3) L’accès au métier
Le certificat de capacité d'orthophoniste s’obtient après 4 ans d’études dans un UFR de médecine.
Professeur des écoles
1) Les missions
Le professeur des écoles a un rôle primordial dans le parcours scolaire d'un enfant : c'est lui qui l'aide à acquérir les bases de la lecture, de l'écriture, du calcul, mais aussi des méthodes de travail et des normes de comportement en classe.
2) Le profil
Actif, enthousiaste, dynamique, le professeur des écoles sait motiver les élèves et les encadrer au mieux pour leur permettre d’apprendre chacun à leur rythme. Un grand sens de l’organisation et de la rigueur sont également des atouts pour gérer sa classe. Enfin, une bonne culture générale et le sens du travail en équipe sont nécessaires.
3) L’accès au métier
Pour devenir professeur des écoles, il faut réussir le CRPE (concours de recrutement de professeurs des écoles). Ce concours est ouvert aux étudiants inscrits en M1, en M2 métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation ou aux titulaires d’un master 2 (bac + 5). Etant entendu que le stagiaire doit obtenir son M2 complet pour être titularisé.
Il existe aussi un concours interne pour les agents de la fonction publique et un troisième concours pour les personnes extérieures à la fonction publique, sous certaines conditions d'expérience professionnelle…
Le professeur des écoles a un rôle primordial dans le parcours scolaire d'un enfant : c'est lui qui l'aide à acquérir les bases de la lecture, de l'écriture, du calcul, mais aussi des méthodes de travail et des normes de comportement en classe.
2) Le profil
Actif, enthousiaste, dynamique, le professeur des écoles sait motiver les élèves et les encadrer au mieux pour leur permettre d’apprendre chacun à leur rythme. Un grand sens de l’organisation et de la rigueur sont également des atouts pour gérer sa classe. Enfin, une bonne culture générale et le sens du travail en équipe sont nécessaires.
3) L’accès au métier
Pour devenir professeur des écoles, il faut réussir le CRPE (concours de recrutement de professeurs des écoles). Ce concours est ouvert aux étudiants inscrits en M1, en M2 métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation ou aux titulaires d’un master 2 (bac + 5). Etant entendu que le stagiaire doit obtenir son M2 complet pour être titularisé.
Il existe aussi un concours interne pour les agents de la fonction publique et un troisième concours pour les personnes extérieures à la fonction publique, sous certaines conditions d'expérience professionnelle…
Psychiatre
1) Les missions
Le psychiatre est un médecin spécialiste. Il pose un diagnostic avant de choisir un mode de thérapie. Ce diagnostic se forme à la suite de plusieurs entretiens avec la personne accueillie afin d’avoir une idée précise de sa pathologie. Puis, il propose un traitement et une méthode thérapeutique adaptés à l’âge de la personne. Membre de l’équipe éducative, il apporte son expertise pour conseiller et orienter l’accompagnement des personnes. Il peut être amené à rencontrer l’entourage des personnes accueillies. Il peut aussi demander l’hospitalisation d'office pour une personne.
2) Le profil
A l'image de tous les professionnels qui interviennent sur le psychisme humain, le psychiatre est un homme d'écoute, attentif et concentré en fonction du public qu’il reçoit. En plus de la méthode thérapeutique employée, le psychiatre doit faire preuve d'humanité. Le sens du contact est une qualité indispensable pour exercer cette profession. La déontologie occupe une place particulièrement importante dans l'exercice de la psychiatrie.
3) L’accès au métier
Pour exercer en tant que psychiatre, il faut compter dix années d'études. Après avoir intégré la faculté de médecine, il suit une formation commune à tous les futurs médecins. Au terme de la sixième année, le psychiatre peut accéder à la spécialité et poursuit le cursus pendant quatre ou cinq ans durant lesquels il suit de nombreux stages pratiques. Titulaire d’un Diplôme d’études spécialisées (DES) ou un Diplôme d’études spécialisées complémentaires (DESC) dans le domaine de la psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, le médecin doit obtenir le diplôme d’Etat de docteur en médecine pour pratiquer.
Le psychiatre est un médecin spécialiste. Il pose un diagnostic avant de choisir un mode de thérapie. Ce diagnostic se forme à la suite de plusieurs entretiens avec la personne accueillie afin d’avoir une idée précise de sa pathologie. Puis, il propose un traitement et une méthode thérapeutique adaptés à l’âge de la personne. Membre de l’équipe éducative, il apporte son expertise pour conseiller et orienter l’accompagnement des personnes. Il peut être amené à rencontrer l’entourage des personnes accueillies. Il peut aussi demander l’hospitalisation d'office pour une personne.
2) Le profil
A l'image de tous les professionnels qui interviennent sur le psychisme humain, le psychiatre est un homme d'écoute, attentif et concentré en fonction du public qu’il reçoit. En plus de la méthode thérapeutique employée, le psychiatre doit faire preuve d'humanité. Le sens du contact est une qualité indispensable pour exercer cette profession. La déontologie occupe une place particulièrement importante dans l'exercice de la psychiatrie.
3) L’accès au métier
Pour exercer en tant que psychiatre, il faut compter dix années d'études. Après avoir intégré la faculté de médecine, il suit une formation commune à tous les futurs médecins. Au terme de la sixième année, le psychiatre peut accéder à la spécialité et poursuit le cursus pendant quatre ou cinq ans durant lesquels il suit de nombreux stages pratiques. Titulaire d’un Diplôme d’études spécialisées (DES) ou un Diplôme d’études spécialisées complémentaires (DESC) dans le domaine de la psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, le médecin doit obtenir le diplôme d’Etat de docteur en médecine pour pratiquer.
Psychologue
1) Les missions
Au sein d'une institution, le psychologue écoute et accompagne des personnes accueillies : enfants, adolescents ou adultes handicapés. Son intervention va du simple entretien en vue d'un conseil à un accompagnement plus complexe et au long cours. Le psychologue doit réaliser des évaluations psychologiques et poser des diagnostics afin de mettre en place une intervention curative ou préventive auprès de la personne. Il accompagne les personnes présentant des troubles du comportement et de la personnalité grâce à un cadre de prise en charge spécifique comme des thérapies individuelles ou collectives. Le psychologue accompagne, sensibilise et informe les professionnels médicaux, sociaux et éducatifs sur l'aspect psychologique en participant, notamment, à l’élaboration des projets personnalisés. Le psychologue doit veiller à mesurer les évolutions du secteur pour adapter ses méthodes de travail en conséquence et développer de nouvelles pratiques.
2) Le profil
Le sens de l'écoute et le goût des contacts sont les qualités du psychologue. Pour prendre en charge, évaluer et guider les différentes personnes qu'il rencontre, le psychologue possède un sens de l'observation et de l'analyse. Le psychologue est doté d'un excellent équilibre personnel et fait preuve de neutralité et objectivité en toutes circonstances. Amené à travailler en équipe, il est capable de communiquer et faire circuler l'information entre les différents intervenants (médecins, psychomotriciens, orthophonistes, travailleurs sociaux...).
3) L’accès au métier
Le titre de psychologue est accordé aux titulaires d'un master en psychologie. Il est également décerné aux étudiants qui sortent de l'EPP (École de psychologues praticiens). Les études commencent par une licence de psychologie, suivie d'un master accompagné d'un stage professionnel, indispensable pour obtenir le titre de psychologue.
Au sein d'une institution, le psychologue écoute et accompagne des personnes accueillies : enfants, adolescents ou adultes handicapés. Son intervention va du simple entretien en vue d'un conseil à un accompagnement plus complexe et au long cours. Le psychologue doit réaliser des évaluations psychologiques et poser des diagnostics afin de mettre en place une intervention curative ou préventive auprès de la personne. Il accompagne les personnes présentant des troubles du comportement et de la personnalité grâce à un cadre de prise en charge spécifique comme des thérapies individuelles ou collectives. Le psychologue accompagne, sensibilise et informe les professionnels médicaux, sociaux et éducatifs sur l'aspect psychologique en participant, notamment, à l’élaboration des projets personnalisés. Le psychologue doit veiller à mesurer les évolutions du secteur pour adapter ses méthodes de travail en conséquence et développer de nouvelles pratiques.
2) Le profil
Le sens de l'écoute et le goût des contacts sont les qualités du psychologue. Pour prendre en charge, évaluer et guider les différentes personnes qu'il rencontre, le psychologue possède un sens de l'observation et de l'analyse. Le psychologue est doté d'un excellent équilibre personnel et fait preuve de neutralité et objectivité en toutes circonstances. Amené à travailler en équipe, il est capable de communiquer et faire circuler l'information entre les différents intervenants (médecins, psychomotriciens, orthophonistes, travailleurs sociaux...).
3) L’accès au métier
Le titre de psychologue est accordé aux titulaires d'un master en psychologie. Il est également décerné aux étudiants qui sortent de l'EPP (École de psychologues praticiens). Les études commencent par une licence de psychologie, suivie d'un master accompagné d'un stage professionnel, indispensable pour obtenir le titre de psychologue.
Psychomotricien
1) Les missions
Le psychomotricien rééduque les troubles liés à des perturbations d'origine psychologique, mentale ou neurologique. La thérapie psychomotrice intervient sur des dysfonctionnements du mouvement et du geste : tics nerveux, agitation, difficultés de concentration ou de repérage dans l'espace et le temps, maladies psychosomatiques.
Le psychomotricien rééduque les troubles liés à des perturbations d'origine psychologique, mentale ou neurologique. La thérapie psychomotrice intervient sur des dysfonctionnements du mouvement et du geste : tics nerveux, agitation, difficultés de concentration ou de repérage dans l'espace et le temps, maladies psychosomatiques.
Le psychomotricien évalue les capacités psychomotrices des personnes accueillies et cherche à identifier l'origine des difficultés. En travaillant sur le corps, le psychomotricien favorise une évolution psychique chez la personne accueillie susceptible de lui apporter un meilleur équilibre.
La rééducation proposée prend différentes formes : gymnastique, expression gestuelle, relaxation... Et s'adapte aux différents publics.
Avec les plus jeunes : jeux de ballon, créations en terre, chansons, danses...
Avec les plus âgés : activités d'équilibre, travail sur la mémoire. Chaque séance, individuelle ou collective, vise à procurer à la personne une aisance gestuelle et une sensation de bien-être physique.
Les activités de psychomotricité s’intègrent dans le projet personnalisé de chaque usager élaboré en équipe.
2) Le profil
Le psychomotricien propose des activités pour favoriser les mouvements, les gestes et l'expression corporelle. Il fait preuve d'imagination et conçoit des exercices de rééducation. Le psychomotricien utilise tous les outils de communication à sa disposition : informatique, vidéo... Il a également recours aux arts plastiques, à la musique, au théâtre, à la danse...
2) Le profil
Le psychomotricien propose des activités pour favoriser les mouvements, les gestes et l'expression corporelle. Il fait preuve d'imagination et conçoit des exercices de rééducation. Le psychomotricien utilise tous les outils de communication à sa disposition : informatique, vidéo... Il a également recours aux arts plastiques, à la musique, au théâtre, à la danse...
Il recherche en permanence des solutions et des techniques novatrices pour répondre au mieux à la diversité des troubles et des personnes. De la patience, de l'écoute et du tact sont nécessaires pour obtenir l'adhésion active de la personne. Un solide équilibre (personnel et émotionnel) est également indispensable pour exercer ce métier dans de bonnes conditions.
3) L’accès au métier
Le Diplôme d’État de Psychomotricien s’obtient par une formation de trois ans dans un institut de formation. Ces établissements sélectionnent les candidats sur concours après avoir obtenu le bac, souvent après avoir intégré une école préparatoire pendant un an.
3) L’accès au métier
Le Diplôme d’État de Psychomotricien s’obtient par une formation de trois ans dans un institut de formation. Ces établissements sélectionnent les candidats sur concours après avoir obtenu le bac, souvent après avoir intégré une école préparatoire pendant un an.
Certains de ces établissements exigent également la PACES (première année commune aux études de santé).